quand tu aimes il faut revenir ne me demande pas pourquoi mais recherche dans tes souvenirs et fais le tri dans ton carquois dans cet étui où rien ne s’égare toujours à l’intérieur de toi bondé comme le quai d’une gare tous tes amis y ont un toit garde...
odeurs de rien ne change deux tringles dans l’escalier un raccourci pour les anges nous accédons au palier pas liés devant la porte et lumière dans le vitrail il est là en quelque sorte mais nu sans son attirail odeurs de rien ne presse la salle d’attente...
il était chaud le Maurice et d’utilité publique en amour pas d’avarice un personnage biblique mais plutôt un saint coquin dans le genre de Saint Valentin sa mère l’avait fait rouquin elle marquera son destin Marthe est morte à la maison laissant deux...
le temps vient où tout sera ni plus ni moins mais lucide la modestie conviendra ce n’est pas toi qui décide ni moi d’ailleurs mais lâche prise il va falloir improviser sur le chemin pas de balise et pas de clous pour traverser le temps vient où tout ira...
49 neuf ans au compteur il n’a plus rien à donner phénomène d’apesanteur mais il peut papillonner il a quitté sa cabane pour agrandir ses limites au pied du mont de Diane de la Justice à l’Hermite le Fou poursuit son chemin tous les chemins sont les siens...
la porte est en dedans l’arche gravée l’indique message transcendant et la raison abdique ne cherchez pas ailleurs semble dire l’arcade je suis votre aiguilleur tombez dans l’embuscade il vous faut lâcher prise et déposer les armes vous aurez des surprises...